Jean Roudaut,
spécialiste de Michel
Butor et de Robert
Pinget, vient de
publier, après ses
écrits sur la peinture,
les bibliothèques et,
le rêve en littérature,
Un peu profond ruisseau – La mort en littérature, aux éditions Le temps
qu’il fait. Il m’a été donné, en ces semaines de confinement, de suivre
pas à pas ce « peu profond ruisseau », le Styx, pour Stéphane
Mallarmé. Je cite Jean Roudaut : « On a sans cesse à franchir la
limite, la fin du paragraphe, celle du chapitre, plus difficile, celle du
livre. » La mort, dans cet essai d’une grande érudition, irrigue nos
connaissances comme une eau la prairie.
Dominique de Rivaz est une cinéaste et auteure suisse. Elle a
notamment remporté le prix du cinéma suisse en 2004 pour son
long-métrage, Mein Name ist Bach.
notamment remporté le prix du cinéma suisse en 2004 pour son
long-métrage, Mein Name ist Bach.
Son dernier livre de photographies avec Dimitri Leltschuk Kaliningrad, la petite Russie d’Europe (éditions Noir sur Blanc), est sorti il y a quelques semaines.
Un peu profond ruisseau – La mort en littérature de Jean Roudaut
(Le Temps qu’il fait)
par Dominique de Rivaz
(Le Temps qu’il fait)
par Dominique de Rivaz